Alle Storys
Folgen
Keine Story von MSD Merck Sharp & Dohme AG mehr verpassen.

MSD Merck Sharp & Dohme AG

Une nouvelle enquête menée en Europe, y compris en Suisse, montre des différences claires en ce qui concerne la sensibilisation et les connaissances du public sur les papillomavirus humains (HPV)

Une nouvelle enquête menée en Europe, y compris en Suisse, montre des différences claires en ce qui concerne la sensibilisation et les connaissances du public sur les papillomavirus humains (HPV)
  • Bild-Infos
  • Download

Ein Dokument

Luzern (ots)

   - Une vaste étude de marché multinationale portant sur les HPV a 
     été conduite auprès de 15'000 personnes interrogées dans dix 
     pays européens, y compris en Suisse
   - Une personne interrogée sur trois n'avait encore jamais entendu 
     parler des HPV et près de 3% d'entre elles qui en avait 
     connaissance savaient que la plupart des gens entrent en contact
     avec les HPV durant leur vie
   - Un peu plus de la moitié des personnes interrogées pour 
     lesquelles les HPV étaient connus  (51%) ne savaient pas ou 
     niaient que les HPV peuvent causer un cancer chez les hommes
   - L'étude a été commandée par MSD. L'institut de recherche de 
     marché Ipsos a été chargé de l'effectuer au niveau mondial

Une vaste étude de recherche de marché sur les papillomavirus humains (HPV) effectuée dans 10 pays européens, y compris en Suisse, a montré des différences substantielles en ce qui concerne les connaissances et la sensibilisation. 15'000 femmes et hommes âgés entre 16 et 60 ans ont pris part à cette vaste enquête. Elle a été conduite à l'initiative de MSD par l'institut de recherche de marché Ipsos.

Presque tous les formes de cancer de l'utérus (99%) sont causées par une infection due à un type d'HPV à risque élevé.(1) Selon l'Organisation mondiale de la santé (WHO, World Health Organisation), il s'agit du quatrième type de cancer le plus fréquent chez les femmes et il montre un taux de mortalité élevé dans le monde.(1) Les infections à HPV peuvent également causer plusieurs autres maladies cancéreuses aussi bien chez les femmes que chez les hommes, lesquelles sont associées à un risque de décès à prendre au sérieux et représentent une charge pour le système de santé.(1)

Les enseignements importants issus de l'enquête sont :

En Europe, la sensibilisation aux HPV est marquée différemment

   - Dans les dix pays dans lesquelles l'enquête a été conduite, 
     moins de deux personnes interrogées sur trois connaissent les 
     HPV, bien que la plupart d'entre elles ont été en contact avec 
     ces virus à un moment donné de leur vie.(3)
   - En Suisse, en Autriche et en Allemagne, la prise de conscience 
     des HPV est la plus faible. Plus de la moitié des personnes 
     interrogées n'ont pas su les classer : 52% des personnes 
     interrogées en Suisse, 54% en Autriche et 60% en Allemagne.
   - La conscience la plus marquée est en Espagne qui, avec 87%, est 
     en tête des pays analysés, suivie par l'Italie (82%) et le 
     Portugal (70%).

Manque de clarté quant à la présence des HPV

   - Seules 3% des personnes interrogées connaissant le terme HPV 
     indiquent aussi que les virus surviennent très souvent. Pour la 
     majorité des personnes interrogées, il n'était pas connu que 75%
     de la population en est infectée au cours de sa vie.(3)
   - En revanche, 54% des personnes interrogées ayant entendu parler 
     des HPV pensent que leur survenue est plutôt rare, voire même 
     très rare.
   - Considérant tous les pays analysés dans leur ensemble, une 
     personne interrogée sur cinq considère qu'il n'est pas possible 
     qu'elle ait été infectée par des HPV.

Beaucoup de personnes interrogées n'étaient pas conscientes que les hommes sont exposés à des risques liés aux HPV et que ces virus peuvent causer différentes formes de cancers

Plus de la moitié des personnes interrogées ayant entendu parler des HPV (51%) niaient ou ne savaient pas que les HPV peuvent causer des cancers chez les hommes.(3)

Résultats pertinents pour la Suisse

   - Avec l'Allemagne et l'Autriche, la Suisse fait partie des pays 
     dont la prise de conscience des HPV est la plus faible. En 
     Suisse, 48% des personnes interrogées indiquent connaitre le 
     terme HPV. En revanche, selon l'enquête,  la moyenne européenne 
     de la prise de conscience se situe à 62%.
   - Les connaissances sur la fréquence des infections à HPV 
     obtiennent également un mauvais résultat.
   - De surcroit, l'importance d'une vaccination contre les HPV chez 
     les jeunes n'est pas encore comprise en Suisse. A la question: «
     A ton avis, quel est le sexe le plus exposé à un risque élevé 
     lié aux HPV ? »
   o 36% ont répondu les filles 
   o 8% ont répondu les deux sexes 
   o 2% ont répondu les garçons 
   o 52% ne savaient pas ou ne connaissaient pas les HPV
   - Globalement, 1'000 personnes (deux tiers d'adolescents et un 
     tiers d'adultes) ont été interrogées dans toutes les régions 
     linguistiques de la Suisse.

Evaluations des experts

« Cette recherche de marché est une vaste étude sur la prise de conscience et la perception des papillomavirus humains (HPV) chez 15'000 adultes (âgés de 16 à 60 ans) dans dix pays européens. Cette enquête livre des chiffres comparatifs solides sur la perception et les connaissances sur les HPV et sur quelque chose de peut-être encore plus important, à savoir la compréhension des différences concernant ces éléments entre ces pays », dit Helen Cox de l'institut de recherche de marché Ipsos.

« Cette enquête montre des différences claires en ce qui concerne les connaissances de la population sur les HPV en Europe. Ces dernières sont une étape essentielle pour comprendre pourquoi la prévention est importante et pour prendre des décisions dans la pratique de la vaccination et de la prévoyance par les individus et les familles. En tant que communautés scientifiques et politiques en matière de santé, nous devons tout entreprendre pour favoriser la compréhension et nous devrions nous orienter sur les exemples de l'Australie, de la Finlande, de l'Ecosse et d'autres pays de premier plan afin de réduire les cancers du col de l'utérus et d'autres types de cancers liés aux HPV dans les décennies à venir dans toute l'Europe », constate le Dr Xavier Bosch, Consultant senior du programme de recherche épidémiologique sur le cancer et Directeur de la division e-oncología de l'Institut Català d'Oncologia (ICO) à Barcelone.

Ces informations sont réservées exclusivement aux journalistes. MSD renvoie aux dispositions légales relatives à la publicité pour les produits thérapeutiques, notamment à l'interdiction de faire de la publicité destinée au public pour des médicaments délivrés sur ordonnance.

A propos des papillomavirus humains (HPV)

HPV signifie papillomavirus humains. Les HPV sont transmis par contacts sexuels et ils sont responsables de la survenue de différentes maladies cancéreuses au niveau de la région ano-génitale ainsi que de celle du cou et de la gorge, la plus connue étant le cancer du col de l'utérus.(3)

A propos de la situation des HPV en Suisse

En Suisse, selon les données disponibles, le cancer du col de l'utérus frappe chaque année environ 250 femmes et 80 en décèdent - malgré les possibilités thérapeutiques existantes et un large accès aux examens réguliers de dépistage recommandés. Cela concerne, en particulier, les femmes âgées de 35 à 50 ans. Le traitement du cancer du col de l'utérus comprend une intervention chirurgicale pour éliminer les cellules cancéreuses, suivie d'une radiothérapie et / ou d'une chimiothérapie.(2)

Une vaccination peut protéger contre l'infection avec les types de virus importants et en Suisse, elle est recommandée pour tous les adolescents et les jeunes adultes âgés de 11 jusqu'à 26 ans.3 Selon une récente enquête réalisée par l'Officie fédérale de la santé publique (OFSP), le taux de vaccination des filles âgées de 16 ans est de 56%, clairement en deçà de l'objectif fixé par l'OFSP de 80%.(4, 5)

A propos de la recherche de marché

Ipsos a mené des entretiens au nom de MSD auprès d'une population représentative de 15'000 adultes âgés de 16 à 60 ans en Europe (par ordre alphabétique): Allemagne 2'000, Autriche 1'000, Belgique 1'000, France 2'000, Espagne 2'000, Grèce 1'000, Italie 2'000, Portugal 1'000, Royaume-Uni 2'000 et Suisse 1'000. L'enquête a eu lieu en ligne du 7 au 21 janvier 2019. La population est basée sur des proportions en termes de sexe, d'âge, de région et de statut de travail au niveau des pays et les données de l'enquête ont été pondérées en fonction des conditions démographiques données. L'étude de marché a été initiée et financée par MSD. Elle détient les droits de distribution des résultats de l'enquête.

Les questions sur l'étude sont volontiers accueillies par : Helen Cox d'Ipsos, helen.cox@ipsos.com, Emma Middleton d'Ipsos, emma.middleton@ipsos.com et liliane.elspass@merck.com de MSD.

A propos d'Ipsos

Ipsos est une société active dans le domaine de la recherche de marché au niveau mondial. La Ligne de services dans le domaine de la santé d'Ipsos collaborer avec des fabricants de produits pharmaceutiques, biotechnologiques et médicaux pour permettre de meilleures services de soins de santé. https://www.ipsos.com/en-ch

A propos de MSD dans le monde

Depuis plus d'un siècle, MSD, une compagnie biopharmaceutique mondiale de premier plan, invente pour la vie en présentant des médicaments et des vaccins destinés aux maladies qui posent le plus de défis. MSD est un nom commercial de Merck & Co., Inc., ayant son siège à Kenilworth, N.J., USA. Avec nos médicaments, nos vaccins, nos traitements biologiques et nos produits à usage vétérinaire délivrés sur ordonnance, nous travaillons avec nos clients et nous opérons dans plus de 140 pays pour apporter des solutions de santé innovatrices. Nous démontrons également notre détermination à améliorer l'accès aux soins de santé grâce à des politiques, des programmes et des partenariats d'envergure. Aujourd'hui, MSD reste aux avant-postes de la recherche pour faire avancer la prévention et le traitement de maladies menaçant les personnes et les communautés dans le monde - y compris le cancer, les affections cardio-métaboliques, les maladies animales émergentes, la maladie d'Alzheimer et les maladies infectieuses incluant le VIH et l'Ebola.

A propos de MSD Médecine humaine en Suisse

La Suisse est un site important pour l'entreprise. 700 employés et employées travaillent ici dans des fonctions nationales aussi bien qu'internationales. La division de la médecine humaine de MSD est responsable de la distribution de médicaments et de biopharmaceutiques délivrés sur ordonnance médicale dans les domaines thérapeutiques que sont l'oncologie, le diabète, les maladies infectieuses (incluant les infections fongiques, les résistances aux antibiotiques, le VIH/SIDA et l'hépatite C), l'immunologie, la santé des femmes de même que des vaccins pour les enfants, les adolescents et les adultes.

En Suisse, MSD est également active dans la recherche clinique et dans la production de médicaments destinés aux essais cliniques. Renforcer les compétences et l'économie en matière de santé est une autre occasion pour MSD de s'impliquer localement. C'est ainsi que MSD s'engage dans son site de Lucerne. En 2018, l'entreprise s'est vu décerner la certification «Top Employer Suisse » pour la septième fois consécutive et celle « Top Employer Europe » pour la quatrième fois.

Pour plus d'informations : www.msd.ch. Suivez-nous sur Twitter, LinkedIn et YouTube.

Réf.

1 World Health Organization: Immunization, Vaccines and Biologicals https://www.who.int/immunization/diseases/hpv/en/ [consulté le 26.02.2019]

2 Office fédéral de la santé publique : HPV: Foire aux questions (PDF, question 8: « Qu'est-ce que le cancer du col de l'utérus ? ») http://ots.ch/f0tjSk [consulté le 26.02.2019]

3 Office fédéral de la santé publique : Papillomavirus humains http://ots.ch/bHp090 [consulté le 26.02.2019]

4 Office fédéral de la santé publique : Suivi cantonal de la couverture vaccinale en Suisse http://ots.ch/QIADwD [consulté le 26.02.2019]

5 Office fédéral de la santé publique : Plan d'action « Stratégie nationale de vaccination » 23.11.2018 http://ots.ch/7RWttp [consulté le 28.02.2019]

© 2019 MSD Merck Sharp & Dohme AG, Werftestrasse 4, 6005 Lucerne. Tous droits réservés. CH-NON-00014, créé en mars 2019

Contact:

media.switzerland@merck.com ¦ Tél. 058 618 30 30

Jean-Blaise Defago (Directeur de la Division Policy & Communications)
Liliane Elspass (Responsable des Communications)

Weitere Storys: MSD Merck Sharp & Dohme AG
Weitere Storys: MSD Merck Sharp & Dohme AG